La nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre à travers les réseaux sociaux depuis 48 heures, au point que certains détracteurs ont ciblé ce sénateur – élu de la province de la Tshuapa – convaincus de trouver une occasion inespérée pour en finir avec lui.
Mais très vite, le ballon de cette cabale médiatique s’est dégonflée.
En effet, le cabinet du sénateur et président de la fondation Widal, Guy Loando, a tôt fait de fixer l’opinion publique sur cette affaire qui n’en est pas une, car, notons-le, il s’agit ni plus ni moins que d’un Fake news.
« Le cabinet du sénateur Guy Loando tient à informer l’opinion qu’unecampagne de dénigrement et d’intoxication est en cours par des personnes mal intentionnées incarnant le mal congolais,. laquelle vise à salir le nom du sénateur avec l’intention manifeste de le freiner dans son élan de solidarité à l’endroit des populations qui sont aujourd’hui bénéficiaires sociales et humanitaires des actions menées par sa fondation », a dénoncé le service de communication de Guy Loando. Et cela, avant de rassurer l’opinion publique de la détermination de cet acteur politique à poursuivre avec ses actions.
« Nous tenons à rassurer tous ceux qui ont adhéré à cette dynamique, de sa détermination inhérente (le sénateur Guy Loando, ndlr) de continuer ses actions et l’Honorable se réserve le droit de défendre son image et son honneur en usant de tous les moyens de droit pour dénicher ces personnes afin qu’elles subissent la rigueur de la loi », a-t-on prévenu.
La mise au point du service de communication de cet acteur socio politique dont la générosité est remarquable à travers la réalisation de plusieurs actions sociales et humanitaires en faveur de la population pourra sans nul doute apaiser les esprits de certains de ses partisans qui auront été choqués par l’ampleur toxique de la fausse nouvelle.
Il faut signaler que des accusations faisant état de corruption de certains députés nationaux sont dénoncées depuis quelques semaines à travers les médias de la capitale. La plateforme politique de l’ancien président de la République – le Front Commun pour le Congo- est parmi les dénonciateurs. Cependant, aucune preuve matérielle n’a été encore présentée à la presse. En outre, la justice semble muette sur cette affaire. La démarche viserait à faire basculer la majorité parlementaire en faveur du chef de l’Etat congolais, dans la perspective de l’Union sacrée de la nation.
Jean Médard LIWOSO