Désiré Mbonzi Wa Mbonzi serait -il dans le collimateur des forces de sécurité ?
En tout cas, l’on peut répondre par l’affirmatif.
Selon les éléments parvenus à la rédaction de politiquerdc.net, ce cadre du Mouvement de Libération du Congo serait recherché par les hommes armés pour des motifs inconnus jusque là . Le dimanche 21 janvier dernier une dizaine d’éléments de la Police Nationale Congolaise s’étaient retrouvés sur l’avenue Bili située dans la commune de Lemba, à la recherche de ce porte -parole du Mlc . Ils auraient déclaré qui comptaient en finir avec lui à la suite semble -t-il de ses déclarations médiatiques contre les autorités du pays.
Joint par votre média ce mercredi 24 janvier 2018 , Désiré Mbonzi Wa Mbonzi qui, confirme les faits, affirme par ailleurs que son domecile situé sur l’avenue Bili à Lemba super avait effectivement reçu par deux fois la visite de ces hommes en uniforme, dans la nuit de samedi 20 et la journée de dimanche 21 janvier. Ils auraient forcé la porte de sa maison en vain et auraient tiré de balles de sommation pour intimider ses enfants qui s’étaient cachés dans la maison. Les mêmes policiers avaient selon Désiré Mbonzi perquisitionné quelques maisons voisines cherchant à le retrouver, mais Dieu merci declare -t-il, il n’a pas été attrapé suite à la vigilance de ses voisins qui avaient refusé d’indiquer la où il s’était caché et de montrer sa maison à ces policiers qui n’auraient pas de précision exacte de son domicile de Lemba .
« Depuis le samedi 20 janvier jusqu’à ce mercredi 24 janvier, je ne suis plus rentré à la maison, je n’ai plus vu mes enfants » , s’est -il exprimé au téléphone de votre média .
Selon d’autres témoignages, toute la scène du dimanche dernier s’était déroulée en présence du chef de quartier habitant la même avenue que Mbonzi Wa Mbonzi. Ce dernier qui déclare vivre actuellement en clandestinité fouillant de tomber dans les mains de ses bourreaux dont il ne maîtrise pas encore les mobiles de leur opération.
Son avocat devrait incessamment déposer une plainte à ce sujet.
Selon des nombreux témoignages, beaucoup de Kinois habitants les communes periferiques avaient été victimes des perquisitions des hommes armés le 21 janvier dernier, qui auraient tout emporté de leur passage (argents , téléphones…). Des actes dénoncés notamment par les ongs de droit de l’homme à l’image de ACAJ de maître Georges Kapiamba.
Affaire à suivre !
Kapinga Wetu