Ça aura été une tentative ratée de l’Université Protestante au Congo de vouloir salir maître Éric Bilale, assistant et chercheur au sein de cette université et Conseiller Juridique et porte-parole du Président Félix TSHISEKEDI.
Cette institution qui a rayonné depuis un temps et a semblé redonner l’espoir à toute une nation congolaise en crise d’exemplarité morale, commence de plus en plus à se decrédibiliter et à perdre ses valeurs au regard de sa devise dont foi et vérité, pourtant, une université dite confessionnelle et chrétienne.
Scandales sexuels, points sexuellement transmissibles, harcèlements sexuels, corruption sont son cheval de bataille.
Selon une source qui s’est confiée à politiquerdc.net ce samedi 13 janvier 2018 , certains enseignants bien connus de la Faculté de droit, faisant de ces pratiques une partie de leur vie, ont été dénoncés par la presse et les médias libres les mois de novembre et décembre 2017 derniers, à la suite des délibérations contestées par les étudiants.
L’ on se rappelera que connu pour ses valeurs morales et sa rigueur scientifique,mais aussi pour son opposition diamétrale à l’inversion des valeurs et à la dépravation des moeurs, ce jeune scientifique pétri de talents et servant de modèle pour un grand nombre d’étudiants en droit mais aussi pour des jeunes congolais conscients , lui qui a formé les étudiants en droit de l’UPC dans le cadre du Réseau Francophone de droit international (2013 à Bucarest ; 2014 à Sherbrooke ), maître Éric Bilale, avait pris une position officielle contre ces abominations à l’UPC, exigeant ainsi, toutes affaires cessantes, la création d’une commission d’enquête afin d’élucider cette situation grave .
La commission créée, les témoignages des filles victimes de ces actes barbares ont été apportés. Des faits graves tels que dénoncés par voie de nos confrères du site internet Katangapost et condamnés solennellement par l’assistant Éric Bilale ont été apportés.
Mais, malheureusement, malgré la pression des étudiants eux – mêmes victimes de ces actes, des médias et des défenseurs des droits humains exigeant des mesures claires et rigoureuses contre ces enseignants impliqués dans ces crimes graves depuis des décennies et continuent impunément à les commettre, l’autorité de l’UPC tente de jouer au malin.
En effet, selon nos sources , sous pression de la Majorité Présidentielle, étant donné que les enseignants impliqués sont des hauts cadres du PPRD et ont des relations incestueuses avec le pouvoir, le Comité de gestion de l’UPC,sans vergogne, serait décidé à blanchir ces bourreaux pour plaire à la MP, mais comment le faire ?
Il faut sacrifier le témoin gênant, cet homme intègre, lui qui dénonce et tient aux sanctions exemplaires, maître Éric Bilale, Conseiller Juridique et porte-parole de Félix TSHISEKEDI. En témoigne la décision signée le 11 janvier dernier par le recteur de cette institution universitaire, le professeur Daniel Ngoy Bolia. Décision consistant non seulement à interdire à l’assistant Éric Bilale au même titre qu’une série d’autres enseignants cités et entendus par une commission pour les mauvaises pratiques d’accéder au site de l’université, mais aussi à salir son image toujours rayonnante. Ce dont dénonce l’assistant Éric Bilale qui estime que le citer dans cette affaire est une manière delibérée de ternir son honneur.
Pour certains étudiants contactés par votre média, l’Université Protestante au Congo devrait arrêter avec ce jeu. La communauté universitaire attend plutôt voir des sanctions draconiennes contre les enseignants impliqués dans cette affaire que de s’apprendre à ce jeune enseignant de référence pour la jeunesse congolaise.
Éric Bilale assiste le professeur Jacques Djoli au sein de cette université depuis 2013.
Constant Mohelo.